Mon père montre des signes de guérison du syndrome de Guillain-Barré. La myéline se restructure, il bouge un doigt puis l’autre.
C’est l’histoire d’un père de famille ordinaire, qui voit sa vie basculer un matin d’avril 2012. Ce père c’est le mien, Martial, 58 ans, pas du genre à se plaindre. Et pourtant ce matin-là, il se plaint, de ces mollets, engourdis comme si il avait couru un marathon la veille.
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