Catégorie : Témoignage de patients

Les médecins et le personnel médical s'agitent autour de moi. Ils craignent la progression du Guillain-Barré.

Les médecins et le personnel médical s’agitent autour de moi. Ils craignent la progression du Guillain-Barré.

Le samedi 15 novembre 2003, malgré un soudain malaise général, je suis parti à Perpignan. Environ 500 kms de route effectués étrangement, sans aucune, douleur. Le dimanche 16, le malaise revient accompagné de troubles de la marche. Armand, 68 ans Guillain-Barré à 67 ans (en 2003) Je m’écroule en voulant

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J'avais des picotements dans les avant-bras et dans les jambes. J'ai su après que c'était le guillain-barré.

Mon œil gauche ne se fermait plus, je ne marchais plus. J’ai paniqué, je me suis mise à pleurer. J’étais désemparée.

Je m’appelle Marie-Chantal et je suis du Nouveau-Brunswick au Canada. Je viens vous raconter mon histoire avec le Syndrome de Guillain-Barré, une histoire qui n’est pas drôle. J’ai 30 ans et je suis maman de deux garçons. L’un de 13 ans, l’autre de 9 ans. Marie-Chantal, 30 ans Guillain-Barré à

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Je me réveillais avec une paralysie faciale : le Guillain-Barré évoluait toujours. Les immunoglobulines avaient masqué sa progression.

Je me réveillais avec une paralysie faciale : le Guillain-Barré évoluait toujours. Les immunoglobulines avaient masqué sa progression.

Je m’appelle Constance, j’ai 35 ans, et je suis sortie du service de neurologie du professeur Saïd de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre il y a cinq jours, où je suis restée 19 jours en observation pour un syndrome de Guillain-Barré établi aux urgences du même hôpital le 19 avril dernier. Constance,

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Je subis IRM, doppler, examen ORL et finalement ponction lombaire pour confirmer leur supposition d'une polyradiculonévrite.

Je subis IRM, doppler, examen ORL et finalement ponction lombaire pour confirmer leur supposition d’une polyradiculonévrite.

Lorsque survient le Syndrome de Guillain-Barré, j’ai 37 ans, nous sommes le 15 décembre 1998. Je me réveille avec le côté droit du visage légèrement paralysé. J’appelle mon dentiste pensant à un problème buccal, mais après la consultation, il ne décèle rien. Isabelle, 43 ans Guillain-Barré à 37 ans (en

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Le neurologue désigné par l'armée considère que je simule puisque le syndrome de Guillain Barré ne laisse aucune séquelles officiellement.

Le neurologue désigné par l’armée considère que je simule puisque le syndrome de Guillain Barré ne laisse aucune séquelles officiellement.

J’ai subi cette maladie de Guillain-Barré au cours de mon service militaire. C’était en 1995, au mois de mars, à partir de 2 heures du matin. Au cours d’une garde, j’ai senti ce que les médecins appellent la chaussette : fourmillement jusqu’au dessous des genoux (taille standard des chaussettes de

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Mon témoignage Guillain-Barré

J’ai eu la chance d’avoir un très bon cœur, sinon je ne serais pas là pour partager mon témoignage sur le Guillain-Barré.

Je m’appelle Patrick, j’ai 36 ans et voici mon témoignage sur le Guillain-Barré (forme sévère) qui s’est déclaré en novembre 2001. J’ai eu la chance d’avoir un généraliste qui a su diagnostiquer le Guillain-Barré immédiatement et m’a orienté vers un neurologue qui m’a fait hospitaliser en urgence. Patrick, 36 ans

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8 ans après mon Guillain-Barré, mes EMG démontrent que le processus de reconstruction est encore très actif…

8 ans après mon Guillain-Barré, mes EMG démontrent que le processus de reconstruction est encore très actif…

C’était en 1995, j’avais alors 34 ans. La vie pour moi était un rayon de soleil, tout me souriait, mais vraiment tout. Mon amie de l’époque avec qui je vivais depuis 4 ans me proposa un voyage d’été en Asie. Guy, 43 ans Guillain-Barré à 35 ans En 4 heures,

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Mon Guillain-Barré a empiré jusqu’à la paralysie totale : je ne pouvais plus parler, plus manger, plus voir… J'ai frôlé la mort.

Mon Guillain-Barré a empiré jusqu’à la paralysie totale : je ne pouvais plus parler, plus manger, plus voir… J’ai frôlé la mort.

Je suis heureux car je n’aurai pas de séquelles, mais je vois la vie différemment. Il y a pire que ce que j’ai vécu, et ne me plains pas. Même si je sais que je suis passé près de la mort, comme ils m’ont dit. Je m’appelle Jonathan, j’ai 18

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Polyradiculonévrite démyélinisante inflammatoire aiguë : c’est grâce à mon coiffeur que j’en découvre l’existence.

Polyradiculonévrite démyélinisante inflammatoire aiguë : c’est grâce à mon coiffeur que j’en découvre l’existence.

Tout a commencé le 11 février 2003. J’étais au travail et j’avais de plus en plus mal aux bras et aux jambes. J’avais également des petits picotements aux bouts des doigts. Je pensais que j’avais attrapé une grippe et j’ai donc appelé mon médecin pour avoir une consultation. Il m’a

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J'avais peur de ne plus pouvoir marcher, ne plus pouvoir sourire car la paralysie du Guillain-Barré avait gagné mon visage.

J’avais peur de ne plus pouvoir marcher, ne plus pouvoir sourire. La paralysie due au Guillain-Barré avait gagné mon visage.

Je m’appelle Françoise et en janvier 2001 j’ai attrapé la grippe. Le médecin m’a soigné avec des antibiotiques. Huit jours après, de violentes douleurs dorsales sont apparues. J’ai été hospitalisée au CHR de Lille : 8 heures d’attente aux urgences pour m’entendre dire qu’il s’agissait des conséquences de la grippe.

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