Catégorie : Témoignage de patients

Garder l'espoir malgré la maladie et de vivre heureux comme moi.

Il faut garder l’espoir malgré les séquelles du syndrome de Guillain-Barré et vivre heureux comme je le fais.

Avant mai 98, j’avais souvent des douleurs dans les talons d’Achille, des fois dans les mollets ou encore les genoux qui lâchaient. Mais c’était vers 96 – 97 et jamais je n’aurais pu penser un seul instant le drame qui se nouait. Théodore, 50 ans Guillain-Barré à 48 ans (1998)

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J'ai des séquelles mais je fais avec

J’ai des séquelles suite au Guillain-Barré, je marche avec une canne, mes jambes sont faibles, mais je fais avec.

Tout allait bien pour moi, la vie était belle. A 21 ans, je venais de finir brillamment mon BTS hôtellerie, un travail déjà en poche. Mais voilà, on ne fait pas toujours comme on veut. En effet le 13 juillet 1993, après une première visite de mon médecin, c’est dans

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L’impact psychologique de ce type de maladie orpheline est éprouvant.

L’impact psychologique de ce type de maladie orpheline invisible de l’extérieur est éprouvant.

Du 31 août 99 jusqu’aux premiers symptômes, j’ai eu une affection broncho-pulmonaire traînante ayant occasionné trois traitements antibiothérapiques de plus en plus forts. L’origine serait donc virale avec réaction auto-immune sachant que l’un des médicaments que j’ai pris (le CIFLOX) peut provoquer, selon le Vidal anglais, des neuropathies périphériques. Claude,

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J'ai des séquelles qui sont encore plus accentuées lorsque je suis fatiguée

La maladie est rare. Mon père, médecin lui-même, n’a jamais connu ni traité un cas de Guillain-Barré !

J’avais 21 ans. Les premiers troubles concernaient les membres inférieurs, paresthésies des extrémités et les troubles moteurs se sont accentuées progressivement pour aboutir à une quadriplégie flasque des quatre membres. Les réflexes ostéo-tendineux furent aussi abolis et la tachycardie était précoce. Cristina, 38 ans Guillain-Barré à 21 ans J’ai été

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A l’hôpital, j’ai pu voir bien pire que le syndrome de Guillain-Barré : des enfants avec une espérance de vie limitée.

C’est en novembre 92 que mes bras et mes jambes ont faiblis rapidement. 24 heures plus tard, à l’hôpital j’étais entièrement paralysé sous assistance respiratoire. J’avais 55 ans et était en pleine activité. J’ai eu la chance d’avoir une épouse merveilleuse qui m’a soutenu en permanence : elle venait tous

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