Il faut garder l’espoir malgré les séquelles du syndrome de Guillain-Barré et vivre heureux comme je le fais.
Avant mai 98, j’avais souvent des douleurs dans les talons d’Achille, des fois dans les mollets ou encore les genoux qui lâchaient. Mais c’était vers 96 – 97 et jamais je n’aurais pu penser un seul instant le drame qui se nouait. Théodore, 50 ans Guillain-Barré à 48 ans (1998)
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