Je me réveillais avec une paralysie faciale : le Guillain-Barré évoluait toujours. Les immunoglobulines avaient masqué sa progression.
Je m’appelle Constance, j’ai 35 ans, et je suis sortie du service de neurologie du professeur Saïd de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre il y a cinq jours, où je suis restée 19 jours en observation pour un syndrome de Guillain-Barré établi aux urgences du même hôpital le 19 avril dernier. Constance,
Continuer la lecture