Étiquette : mort

service neurologie et Guillain-Barré

Pour le suivi de son Guillain-Barré, maman doit retourner en neurologie. Elle me dit alors : « Je vais mourir là-bas, je le sais. »

Tout commence le 10 octobre 2012 et un banal « bonjour maman, comment tu vas ? » Une réponse dont je connais la réponse puisque celle-ci est toujours la même : « Et toi ? » Mais ce jour-là, elle me répond : « Bof ». Pour la première fois

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Victime d'un Guillain-Barré atypique sévère

Victime d’un Guillain-Barré atypique sévère, ma mère a perdu espoir de pouvoir être à nouveau autonome et de vivre sans douleur.

Ma mère, femme indépendante, autonome, positive et forte, a 66 ans a été atteinte du Syndrome de Guillain-Barré le 27 mai 2007. Elle a d’abord ressenti un malaise au niveau des jambes. puis au visage et enfin aux bras. Engourdissements, impression que des couteaux frappaient au niveau des mains et

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Ma petite sœur a immédiatement été intubée et c’est à l’aide d’électrochocs que le personnel hospitalier l’a ranimée. Durant 5 Minutes, elle a frôlé la mort.

C’est à l’aide d’électrochocs que le personnel hospitalier a ranimé ma petite sœur. Durant 5 minutes, elle a frôlé la mort.

Ma sœur, âgée de 20 ans a été atteinte par le virus Guillain-Barré le 28 décembre 2002. Les symptômes ont commencé par une faiblesse générale au moment de se lever après un sommeil de 6 heures. Puis elle a été dans l’incapacité totale de se tenir debout ou de lever

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On ne peut plus vivre comme avant après un Guillain-Barré

Mon rétablissement s’est fait sans séquelles apparentes du Guillain-Barré… Mais psychologiquement, j’ai été détruit.

J’avais 16 ans lorsque j’ai contracté le Syndrome de Guillain-Barré. J’étais un garçon excessivement mal dans sa peau à cette époque, mais tout cela n’était rien à côté de ce que j’allais vivre. La maladie a commencé avec des difficultés à marcher, mes bras et mes jambes devenant de plus

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