Touchée par le Guillain-Barré, j’étais prisonnière d’un corps momentanément mort. J’ai vécu ma guérison comme une renaissance.
A l’époque, maman de deux petits garçons de 3 ans et 18 mois, je me réveille un matin avec la bouche engourdie. Je tente de boire, mais l’eau sort par le nez. Je compose donc le numéro des pompiers et je tente d’expliquer ma détresse. Mais seuls quelques sons incompréhensibles
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