Le neurologue désigné par l’armée considère que je simule puisque le syndrome de Guillain Barré ne laisse aucune séquelles officiellement.
J’ai subi cette maladie de Guillain-Barré au cours de mon service militaire. C’était en 1995, au mois de mars, à partir de 2 heures du matin. Au cours d’une garde, j’ai senti ce que les médecins appellent la chaussette : fourmillement jusqu’au dessous des genoux (taille standard des chaussettes de
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